Ancienne pensionnaire du Haras des Palisses, auquel ont succédé les Ecuries de l’Andelles. Expulsée par mail, sur la base d’un règlement intérieur imposé de manière soudaine et arbitraire par la nouvelle gérance, pour avoir brossé ma jument au « mauvais » endroit, un après-midi où une amie avait le Covid, et des soins à faire à son cheval (et besoin d’aide). Tous deux se sentaient mieux en plein air, avec de l’espace, dans un endroit familier (il s’agissait du lieu initialement autorisé pour le pansage avant l’instauration dudit règlement intérieur), et mon amie (médecin de surcroît) avait le souhait de préserver les autres pensionnaires de tout risque de contamination en se mettant d’elle-même à l’écart. Cette situation, exceptionnelle, a pourtant été exposée de vive voix à la gérante, croisée sur site. Quelle (mauvaise) surprise que de recevoir, deux jours après, un mail me demandant expressément de quitter les lieux avec ma jument… Il s’agit en réalité d’un prétexte, pour avoir précédemment demandé, avec bienveillance, à la gérante, une clarification des prestations réellement comprises dans la pension et des surfacturations nouvellement annoncées et pratiquées, suggéré une meilleure communication, sincère, fluide et chaleureuse (ailleurs que sur Messenger), et un meilleur suivi de la vaccination (afin d’éviter tout nouveau loupé, dans un soucis individuel et collectif). Un échange, yeux dans les yeux, qui me semblait légitime et constructif, au sein d’une Ecurie où le Bien-Etre serait* au cœur des préoccupations de la gérance. C’est dommage que les Energies ne fassent pas écho à la beauté du cadre.